Quand du fond de ta campagne que tu ne quittes jamais t'as un pote qui s'appelleGuillaume Meurice, qu'il partage gentiment un de tes dessins (ce qui réjouit toujours mon muscle cardiaque et mes corps caverneux) et que d'un coup t'en gagnes des dizaines de nouveaux followers, tu te demandes sérieusement , après 25 ans de boulot, si tu dois t'en réjouir ou pleurer des larmes de sang sur le grand refrain du "franchement, à quoi ça tient".
Je devrais peut-être partager un peu plus en ligne des selfies avec des copines/copains connu(e)s et tout et tout pour booster mon ego et tenter de recueillir un peu de leurs paillettes mais bon, déjà ça ferait naître en mon petit moi intérieur un sentiment autant étrange que désagréable et puis en plus je pense jamais à prendre des photos quand je suis avec des potes (souvent parce que je suis trop bourré).